Le coma éthylique : C’est quoi et comment l’éviter ?

Fêtes de fin d’année, soirées arrosées entre potes, anniversaires…
Les occasions ne manquent pas pour s’offrir un maximum de plaisir en consommant de l’alcool. Parfois, par suivisme ou pour ne pas se désolidariser de ses amis, on peut être tenté de boire plus que d’habitude, quitte à dépasser ses limites. Mais le problème, c’est que nous ne sommes pas tous égaux face à l’alcool. En effet, nous réagissons différemment face à une consommation excessive d’alcool. Parmi les différents facteurs de différenciation, nous avons l’âge, le poids, la vitesse de consommation de l’alcool ou le fait d’avoir pris de l’alcool à jeun ou non.

Il y a en effet dans l’alcool, une substance qu’on appelle éthanol et qui est responsable de nombreux dégâts. En fonction du taux d’alcool présent dans notre corps, on peut passer par les différents états suivants : Sobriété, légère euphorie, ébriété, ivresse avancée, stupeur, coma (ou mort). Cette dernière étape est appelée coma éthylique.

Si après une consommation excessive d’alcool, vous constatez chez une personne une dépression respiratoire profonde ou la perte de maitrise des muscles du rectum, vous devez impérativement faire appel à une assistance médicale.

  • Qu’est-ce que le coma éthylique ?
  • Quand survient-il ?
  • Quels en sont les symptômes ?
  • Comment l’éviter ?

Si comme beaucoup de personnes, vous vous posez l’une ou l’autre de ces questions, vous trouverez la réponse dans cet article.

Coma éthylique : Définition

Sommaire
  1. - Coma éthylique : Définition

    1. - C’est quoi l’alcoolémie ?

  2. - Coma éthylique : Les signes qui ne trompent pas

  3. - Coma éthylique : Quels sont les facteurs de risques ?

  4. - Comment calculer le taux d’alcoolémie ?

  5. - Les risques majeurs à surveiller face au coma éthylique

  6. - Coma éthylique : Que faut-il faire ?

    1. - La Position Latérale de sécurité : Un préalable pour lutter contre l’étouffement

      1. - Vérifier au préalable l’état de conscience de la victime

      2. - Les autres étapes à suivre pour mettre la personne en position latérale de sécurité

    2. - Couvrir la victime du coma éthylique pour lutter contre l’hypothermie

    3. - La Position Latérale de Sécurité pour lutter contre les lésions musculaires

    4. - Appeler l’assistance médicale

  7. - Comment éviter le coma éthylique ?

    1. - Boire avec modération

    2. - Ne jamais boire de l’alcool à jeun

    3. - Boire lentement

    4. - Boire dans des verres standards


"Coma éthylique" est composé de deux mots : Coma et éthylique. Le coma est un mot qui a une origine grecque. Il désigne « un sommeil profond ». Quant au second mot « éthylique », c’est un adjectif tiré du mot éthanol. On trouve en effet dans l’alcool, quel que soit le type, une substance psychotrope qu’on appelle l’éthanol. Ce dernier est réputé pour interférer dans la structure des membranes des neurones du cerveau. Il altère leur fonctionnement en agissant sur les connexions cérébrales.

En réalité, le fait de boire une toute petite quantité d’alcool ne conduit pas expressément au coma éthylique. Cela est en effet dû à la quantité d’alcool présente dans l’organisme.

C’est quoi l’alcoolémie ?

L’alcoolémie désigne le taux d’alcool présent dans le sang. C’est elle qui fixe généralement le niveau de dangerosité de l’alcool. Raison pour laquelle la législation sur l’alcool et la sécurité routière se base essentiellement sur la mesure de la quantité d’alcool. Le coma éthylique survient généralement entre 2 et 4 grammes d’alcool par litre de sang.

En fonction du taux d’alcool présent dans le sang, la personne qui consomme de l’alcool peut être exposé à 6 états apparents :

  • L’état de sobriété
  • La légère euphorie
  • L’état d’ébriété
  • L’état d’ivresse avancée
  • L’état de stupeur encore appelé intoxication très grave
  • Le coma éthylique ou la mort

La sobriété correspond à un comportement normal. À cette étape, l’influence est peu significative. Au pire, on constate une diminution possible de l’anxiété et quelquefois des inhibitions. À ce stade, l’alcoolémie est de 0 à 50 mg/100 ml de sang.

La légère euphorie correspond à une faible intoxication. On aperçoit à cette étape quelques effets tels que la forte sensation de bien-être et de satisfaction, la perte d’inhibition, la volubilité et l’exubérance. On constate également une diminution progressive de l’attention, de la concentration et du jugement. L’alcoolémie est de 50 à 100 mg/100 ml de sang.

Encore appelée intoxication moyenne, l’ébriété se remarque à travers les signes suivants : La diminution progressive de la mémoire et de la compréhension, l’atteinte progressive de la vision, une difficile élocution, une augmentation du temps de réaction et une mauvaise coordination des mouvements. L’alcoolémie d’une personne en état d’ébriété est située entre 100 et 200 mg/100 ml de sang.

L’ivresse avancée est encore appelée intoxication grave. Parmi les symptômes, on distingue le bredouillement, la confusion mentale, l’insensibilité à la douleur, les éclats émotionnels, la cécité temporaire encore appelée black out, l’altération de la perception des couleurs et des formes, les nausées et les vomissements. L’ivresse avancée comme son nom l’indique correspond à une zone à risque. L’alcoolémie d’une personne en état d’ivresse avancée est comprise entre 200 et 300 mg/100 ml de sang.

L’état de stupeur encore appelé intoxication très grave, traduit un taux d’alcoolémie compris entre 300 et 400 mg/100 ml de sang. Parmi les signes apparents, on constate la diminution importante de la réponse aux stimulations, la transpiration excessive, l’hypothermie, l’incontinence urinaire et le risque d’aspiration des vomissements.

L’état apparent le plus grave est le coma éthylique. Une personne confrontée à un coma éthylique présente une alcoolémie comprise entre 400 et 500 mg/100 ml de sang.

Coma éthylique : Les signes qui ne trompent pas

Le consommateur d’alcool qui présente un taux d’alcoolémie compris entre 400 et 500 mg par 100 ml de sang est dans une situation alarmante qui nécessite une prise en charge immédiate.

Si vous constatez l’un et/ou l’autre quelconque des signes suivants, n’attendez plus, faites le geste utile, car votre indifférence peut conduire à une perte en vie humaine. On peut citer parmi ces signes :

  • L’inconscience
  • La perte de maitrise des muscles du rectum
  • L’anesthésie
  • La profonde dépression respiratoire
  • Le coma ou la mort par arrêt respiratoire

Par ailleurs, celui qui entre en coma éthylique peut perdre partiellement ou totalement connaissance. Il peut souffrir d’une chute de la tension artérielle et d’une hypotonie musculaire. On constate également que sa peau a tendance à devenir froide et moite. Cela s’explique par le fait que sa température corporelle est susceptible de chuter de plusieurs degrés.

Tous ces malaises sont symptomatiques d’un dysfonctionnement cérébral marqué. Il n’est toutefois pas exclu que dans des cas extrêmes, la personne en état d’ivresse caractérisée soit confrontée à des troubles végétatifs comme l’incontinence urinaire et le relâchement des muscles.

Coma éthylique : Quels sont les facteurs de risques ?

En matière de boissons alcoolisées, on ne le dira jamais assez ! Nous ne sommes pas tous égaux et il y a bien meilleur défi qu’un concours de consommation d’alcool à relever.

C’est pour cela qu’il est nécessaire de rappeler que les marges en ce qui concerne le taux d’alcoolémie ne sont qu’indicatives. D’où la nécessité de les interpréter avec discernement. Chaque individu réagit face à l’alcool en fonction de son état physique et émotif.

Parmi les facteurs de risques, on peut citer :

  • La masse corporelle
  • La vitesse de consommation
  • Le sexe
  • Le fait de consommer des boissons alcoolisées à jeun ou pas
  • La fréquence de consommation

Pour rappel, il est démontré qu’à poids égal, les femmes sont plus sensibles à l’alcool que les hommes. En effet, chez les femmes, un verre moyen équivaut à un verre et demi chez les hommes.

Par ailleurs, on constate également que parmi les facteurs qui influencent la sensibilité à l’alcool, nous avons le métabolisme et la physiologie de chacun. Il est aussi connu que les personnes qui n’ont pas l’habitude de consommer de l’alcool présentent une grande sensibilité à l’éthanol.

Il en est ainsi des personnes consommant des boissons alcoolisées et sucrées à la fois. Cela s’explique par le fait que le consommateur est attiré par le goût du sucré et a du mal à se retenir.

Comment calculer le taux d’alcoolémie ?

Pour déterminer ses propres limites, il est important de savoir déterminer le taux d’alcool présent dans son corps. Cela vous permet de savoir à quels risques vous pourriez être exposé.

Comme vous pouvez l’imaginer, l’alcoolémie dépend principalement de la concentration en alcool de la boisson consommée. Pour connaitre le taux de concentration d’alcool d’une boisson, vous n’aurez qu’à regarder sur la bouteille concernée.

Si vous constatez par exemple qu’une bouteille affiche un taux d’alcool de 5%, vous devez comprendre qu’il y a donc 5 cl d’alcool pur ou éthanol dans un litre de cette boisson.

Pour calculer l’alcoolémie, on prend en compte 5 facteurs importants :

  • Le taux d’alcool dans la boisson alcoolisée (t)
  • La quantité consommée (v)
  • La masse de l’individu (m)
  • La densité de l’éthanol
  • Le coefficient de diffusion

Pour rappel, la densité de l’éthanol est de 0,80. Elle est invariable. Pour ce qui concerne le coefficient de diffusion, il varie selon qu’il s’agit des hommes ou des femmes. Le coefficient de diffusion pour les hommes est de 0,70 et pour celui des femmes est de 0,6.

On désigne dans la formule suivante par TCH, le taux de concentration pour l’homme et par TCF, celui de la femme.

TCH = (V x t x 0,80) / (m x 0,70)

TCF = (V x t x 0,80) / (m x 0,60)

Pour rappel, le calcul de l’alcoolémie pour l’homme diffère de celui de la femme par le coefficient de diffusion.

En appliquant cette formule, vous pouvez déterminer votre alcoolémie. Mais il est indispensable que les boissons alcoolisées soient servies dans des verres standards.

Pour comprendre le concept du verre standard, il est important de savoir que la plupart des boissons alcoolisées ont leur propre verre standard, de sorte qu’un verre standard de bière, de vin ou de spiritueux contient la même quantité d’alcool pur, soit environ 10 grammes.

Dès lors, si vous n’utilisez pas des verres standards, il sera dès lors difficile d’évaluer avec précision la quantité d’alcool absorbée.

Les risques majeurs à surveiller face au coma éthylique

Lorsque se produit un coma éthylique, trois risques majeurs sont à surveiller de près afin de mieux les maitriser et les faire baisser.

Il s’agit de :

  • L’hypothermie
  • Les lésions musculaires
  • L’étouffement

On appelle hypothermie, la chute rapide de la température corporelle. Elle pourrait entrainer la mort en cas de non prise en charge à temps, surtout lorsque la personne se retrouve dans un environnement frais.

Les lésions musculaires ont pour cause le relâchement du corps qui affecte les muscles. Cela se produit lorsque la personne prolongée dans le coma éthylique reste figée dans la même position.

Quant au risque à surveiller également de près, il y a l’étouffement. C’est sans doute le danger le plus à craindre dans le cas d’une intoxication extrême. L’étouffement est une conséquence directe du relâchement des muscles. C’est ce qui explique également le relâchement de la langue qui peut conduire au blocage de la respiration. Il faut aussi craindre le risque que la personne plongée dans le coma éthylique ne s’étouffe avec ses vomissures, au cas où elle se trouverait sur le dos.

Au vu de la dangerosité du coma éthylique, il est plus que jamais nécessaire d’être proactif, car chaque minute de perdu peut engager le pronostic vital de la personne concernée.

Il importe donc d’adopter les gestes qui sauvent afin de réduire considérablement les 3 risques majeurs susceptibles de donner la mort.

Coma éthylique : Que faut-il faire ?

Nous avons appris à distinguer les 6 états apparents lorsqu’une personne s’adonne à une consommation d’alcool. Du coup, nous sommes capables de savoir qu’une personne est confrontée à un coma éthylique ou non. Si le diagnostic se confirme, il faut appliquer les mesures idoines.

La Position Latérale de sécurité : Un préalable pour lutter contre l’étouffement

Dans une situation de coma éthylique, toutes les positions du corps de la victime ne s’équivalent pas. Vous devez impérativement lui faire adopter la Position Latérale de sécurité (PLS). Elle porte si bien son nom.

En effet, avec la position latérale de sécurité, vous évitez à la victime de mourir en s’étouffant avec ses vomissements. C’est malheureusement ce qui pourrait se produire si la personne était couchée sur le dos.

Pour mettre la victime en position latérale de sécurité, il faudrait suivre méticuleusement plusieurs étapes.

Vérifier au préalable l’état de conscience de la victime

Mettre la victime d’un coma éthylique en position latérale de sécurité passe sans doute par la vérification initiale de son état de conscience et par le dégagement de ses voies respiratoires.

Pour cela, il faudra desserrer son col, sa cravate et sa ceinture de pantalon. C’est ainsi que vous allez lui faciliter la ventilation. Pour rappel, l’hypothermie est l’un des risques majeurs constatables chez une victime de coma éthylique. Ce faisant, vous contribuez à la réduction de ce risque.

Afin de dégager les voies respiratoires, vous pouvez poser une main sur son front. En vous servant de l’index et du majeur de l’autre main, il faudra toucher son front et incliner ainsi sa tête vers l’arrière. En maintenant la main sur le front de la victime, vous pouvez au besoin débarrasser un éventuel corps étranger situé dans les voies respiratoires en vous servant de deux doigts. Toutefois, la prudence est de mise pour ne pas enfoncer davantage ce corps étranger.

Les autres étapes à suivre pour mettre la personne en position latérale de sécurité

Après avoir garanti une bonne oxygénation à la victime, il faudrait à présent :

  • Vous agenouiller près du patient, écarter son bras le plus proche de vous et le placer de façon à obtenir un angle droit. À ce stade, on recommande que la main de la victime soit tournée vers le haut
  • Saisir le bras opposé par le poignet et le croiser devant la poitrine
  • Étendez successivement les jambes de la victime du coma éthylique
  • La prendre en même temps par l’épaule et la hanche tout en le tournant vers vous. Toutefois, il est important de veiller à ce que son ventre soit tourné vers le sol. La position idéale est de le laisser prendre appui sur votre cuisse
  • Plier le bras et la jambe supérieurs de la victime du coma éthylique.

Toutefois, il est important de veiller à ce que sa tête soit légèrement inclinée vers l’arrière, tout en gardant la bouche ouverte vers le bas afin d’évacuer les éventuels vomissements et faciliter la respiration.

Par ailleurs, pour protéger sa colonne vertébrale, il est recommandé de placer l’équivalent d’un petit coussin sous sa tête. À défaut vous pouvez vous servir d’un vêtement enroulé. La main de la personne souffrant d’une intoxication aigüe pourra également servir à cette fin.

Couvrir la victime du coma éthylique pour lutter contre l’hypothermie

Dans les risques majeurs pouvant engager le pronostic vital de la victime du coma éthylique, il y a l’hypothermie. Comme définie plus haut, elle correspond à une chute rapide de la température.

Pour limiter la probabilité que ce risque se produise, il est plus que jamais nécessaire de couvrir la victime de l’intoxication aigüe. Ce faisant, vous mettez toutes les chances de son côté pour qu’elle ne connaisse pas une baisse de température.

La Position Latérale de Sécurité pour lutter contre les lésions musculaires

Nous avons défini la Position Latérale de Sécurité et donné les avantages qui en résultent. Les différentes étapes pour la mettre en œuvre ont été également révélées.

Par ailleurs, il convient de rappeler que les lésions musculaires font partie de la 3ème catégorie de risques susceptibles d’entrainer la mort en cas de réalisation. Pour y remédier, la Position Latérale de Sécurité représente la meilleure disposition.

Appeler l’assistance médicale

L’étude qui a été faite sur les différents états apparents après une consommation excessive d’alcool est largement suffisante pour vous permettre de distinguer les symptômes d’un coma éthylique.

Si vous êtes en face d’un tel cas de figure, vous devez impérativement contacter l’assistance médicale. Vous avez également la possibilité de contacter la police ou d’appeler le centre anti poison relevant de votre zone territoriale.

Il est aussi possible de contacter les secours en appelant le Samu au 15, les Pompiers au 18 ou le numéro d’appel unique des urgences au 112.

En attendant l’arrivée de ces derniers, vous devez sans désemparer, adopter les gestes qui sauvent : Dégagement des voies respiratoires, Position Latérale de Sécurité (PLS), couverture de la victime pour lutter contre l’hypothermie. Si vous passez outre ces recommandations, il est possible que le pronostic vital de la victime soit engagé. Dès lors, personne n’aura compris votre indifférence et vous pourriez être poursuivi pour non-assistance à personne en danger.

Par ailleurs, il faudra aussi de temps en temps, dans l’attente des services secours, mettre votre main sur l’abdomen de la victime pour constater qu’elle est toujours en vie et qu’elle n’a pas de difficulté à respirer.   

Comment éviter le coma éthylique ?

La sagesse populaire enseigne qu’il vaut mieux prévenir que guérir. En matière de consommation d’alcool, ce proverbe trouve également tout son sens.

Boire avec modération

Comme vous le savez, nous sommes tous égaux devant la loi, ne serait-ce qu’en théorie, mais pas face à l’alcool. Il est donc important de savoir interpréter les signes de votre corps et d’en comprendre le fonctionnement.

Si vous savez que vous ne supportez pas l’alcool, le mieux à faire est de privilégier les boissons à faible taux d’alcool. Vous pouvez même les mélanger à l’eau. Il n’y a d’ailleurs aucun mal à cela, car il en va de votre santé et de votre vie. Vous pouvez également alterner un verre d’eau avec un verre d’alcool.

Ne jamais boire de l’alcool à jeun

Pour éviter le coma éthylique, vous devez éviter de boire de l’alcool à jeun. À défaut, vous gagnerez beaucoup à manger pendant que vous prenez votre boisson alcoolisée. En effet, avoir l’estomac plein avant de boire, fait que le taux d’alcool dans le sang est moins élevé.

Boire lentement

Il y a bien meilleur défi à relever dans la vie qu’un challenge d’alcool. Vous avez intérêt à aller à votre rythme. Ce que vous ne savez pas, c’est que la vitesse de consommation de l’alcool est un facteur aggravant. Vous devez donc éviter comme la peste le calage d’alcool ou le binge drinking.

En effet, ces phénomènes à la mode induisent des conséquences très graves. Les personnes qui s’y adonnent peuvent y laisser leur vie par arrêt cardiaque ou par étouffement dans leur vomi.  

Boire dans des verres standards

Pour connaitre votre alcoolémie, il est important de boire dans des verres standards. Autrement, vous n’aurez aucune idée de la quantité d’alcool que vous consommez.

En somme, on ne le dira jamais assez ! Il vaut mieux prévenir que guérir et la modération a bien meilleur goût.

 





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